Orthopédie et traumatologie FAQs
Tout ce que vous devez savoir sur
l'orthopédie et traumatologie des membres inférieurs
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Cheville / Pied
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Généralités
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Chirurgie percutanée
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Hallux Valgus
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Orteil en griffe
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Quintus Varus
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Hanche / Genou
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Anesthésie
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Le jour avant l’intervention
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Post-opératoire
La douleur est souvent un signal d’alerte qui amène le patient à consulter. Dans les cas de chirurgie de l’avant pied, l’existence d’une douleur ou d’une gêne au chaussage permet généralement de retenir une indication chirurgicale. Les interventions chirurgicales de l’avant pied (Hallux Valgus, orteil en griffe, Névrome de Morton….) dans un contexte uniquement esthétique ne doivent pas être retenues.
La rééducation dépend du type d’intervention et de la présence ou non d’une immobilisation post opératoire. Dans la chirurgie de l’avant pied, la kinésithérapie n’est pas nécessaire en revanche il sera nécessaire que le patient fasse des gestes d’auto-rééducation qui lui auront été enseigné lors de son hospitalisation ou lors de la consultation post opératoire. Le recours à un kinésithérapeute se justifie pour la rééducation sur la cheville et l’arrière pied.
La chirurgie de l’avant pied (Hallux Valgus, orteil en griffe, Névrome de Morton…) nécessite l’utilisation d’une chaussure post-opératoire. Cette chaussure post opératoire permet de se chausser malgré une pansement post opératoire volumineux enfin suivant le type de chaussure, l’appui est partiel sur l’avant du pied. Cette appui partiel permet de protéger le montage chirurgical et de soulager les douleurs post-opératoires. La durée peut varier de quelques jours à 6 semaines.
Dans les autres cas chirurgicaux, il n’y a généralement pas de chaussures post-opératoire à envisager.
Tout cela dépend de la chirurgie dont vous avez bénéficié.
Lors d’une chirurgie de l’avant pied, l’appui est généralement autorisé immédiatement après l’intervention sous couvert d’une chaussure post-opératoire. L’usage des cannes anglaises sera nécessaire si vous bénéficiez d’une anesthésie loco-régional tant que la jambe est endormi.
Lors des chirurgies de la cheville et de l’arrière pied, l’appui est en moyenne interdit pour les six semaines suivant l’intervention. Bien entendu, cette durée dépend de votre pathologie et est établie au cas par cas.
La reprise du sport ne doit pas être trop précoce même si beaucoup de patients sont demandeurs d’une reprise précoce. La reprise doit dans tous les cas être progressive et ne pourra être autorisée que lorsque le processus de cicatrisation et de guérison sera totalement accompli. Dans le cadre d’une chirurgie de l’avant pied, celle-ci se situe vers le 4eme mois.
Lors d’une chirurgie de la cheville ou de l’arrière pied ce délai pourra aller au delà du sixième mois selon les cas. Quelques soit la pathologies, et l’opération que vous allez subir une reprise trop précoce du sport risque de compromettre le résultat de votre intervention, voire pire d’induire des pathologies surajoutées par l’utilisation inappropriée de vos articulations et segment de membre opéré.
Ils sont importants. En effet, une cigarette va modifier la vascularisation au niveau de votre pied pendant plus de 17 heures. L’intoxication tabagique augmente votre risque de troubles cicatricielles et de retard de cicatrisation. L’intoxication tabagique majore votre risque infectieux. Par ailleurs, l’intoxication tabagique retarde la consolidation.
OUI
Il existe des interventions chirurgicales où le risque de mauvaise cicatrisation est de base élevée. Nous pouvons penser par exemple, au fractures du calcanéum, aux interventions sur l’arrière pied et aux tendons d’Achille. Dans certains cas, l’intoxication tabagique pourra contre indiquer votre intervention.
L’utilisation de matériel d’ostéosynthèse (broches, vis, plaques) peut s’avérer nécessaire pour votre intervention. Il se justifie par la nécessité de maintenir dans la position souhaitée deux fragments osseux devenue indépendant (fracture ou coupe osseuse). Les matériaux actuellement utilisés sont essentiellement des alliages de titanes. Ces matériaux ne présente pas de risque de rejet et son totalement bio compatible. Le matériel d’ostéosynthèse n’est donc pas forcément retiré. Dans certains, il peut y avoir une gène ressenti au contact du matériel d’ostéosynthèse, dans ces cas, l’ablation peut être envisagé une fois la consolidation acquise. L’ablation se fait généralement en chirurgie ambulatoire.
Il s’agit d’une forme de chirurgie mini-invasive qui permet d’assurer un geste osseux en introduisant par une petite incision, un fraise motorisée. La chirurgie percutanée trouve son application dans la chirurgie de l’Hallux Valgus, des orteils en griffes, du Névrome de Morton mais aussi dans la chirurgie de la cheville et du médio pied.
NON
Dans le cadre de la chirurgie percutanée de l’avant pied, il s’agit d’un pansement fait au bloc selon une technique précise avec un but recherché de maintien de la correction, le pansement est donc laissé en place jusqu’à la prochaine consultation.
Lorsqu’une hospitalisation a été nécessaire, le pansement est changé avant votre sortie puis laissé en place jusqu’à la consultation de contrôle.
Idéalement, en arrêtant de fumer au moins 15 jours avant l’intervention et 15 jours après l’intervention. Si le sevrage n’est pas réalisable, une diminution de la consommation doit être envisagé.
Cela dépend du type d’intervention mais aussi du côté opéré. En effet un reprise plus précoce peut s’envisager avec le coté gauche car c’est le pied de l’embrayage. D’une manière générale il se situe en moyenne entre 4 et 6 semaines. La conduite avec un plâtre ou un appareillage médical est déconseillé, vous pourriez vous trouver dans une situation d’exclusion d’assurance si un accident survenait.
Il s’agit d’une intervention réalisé lors d’une journée d’hospitalisation. Le patient entre et sort de l’hôpital le jour-même.
Il s’agit d’un concept chirurgical développé depuis quelques années. Le but est de réaliser une même geste chirurgical en minimisant la taille de la cicatrice et en respectant au maximum toutes les structures anatomiques, tout en donnant le même résultat ou un résultat supérieur à une chirurgie standard. La chirurgie mini-invasive peut être percutanée ou arthroscopique.
NON
C’est bien entendu un but vers lequel chaque chirurgien aspire, néanmoins ils existe des situations où la pathologie, l’anatomie et la technologie empêchent d’appliquer un concept mini-invasif.
Il s’agit d’un type d’intervention mini invasive. L’intervention est réalisé par le biais de petites incisions, qui permettent l’introduction du caméra et d’un instrument à l’intérieur de votre articulations afin de réaliser le geste chirurgicale. Actuellement de nombreuses articulations sont concernées comme l’épaule, le coude, le poignet, la hanche, le genou, la cheville et même l’articulation du gros orteil.
NON
À l’heure actuelle, il n’existe pas de chirurgie orthopédique au laser à proprement parlé.
Généralement le patient veut parler de chirurgie percutanée ou mini-invasive.
Cela dépend du type d’intervention mais aussi du côté opéré. En effet un reprise plus précoce peut s’envisager avec le coté gauche car c’est le pied de l’embrayage. D’une manière générale il se situe en moyenne entre 4 et 6 semaines. La conduite avec un plâtre ou un appareillage médical est déconseillé, vous pourriez vous trouver dans une situation d’exclusion d’assurance si un accident survenait.
Il s’agit d’un dispositif médical placé dans votre cicatrice en fin d’intervention. Son but est d’éviter la formation d’un hématome post-opératoire. Son utilisation n’est pas systématique, notamment lors d’une chirurgie mini-invasive. Son retrait s’effectue lors du premier pansementpar l’infirmière.
Idéalement, en arrêtant de fumer au moins 15 jours avant l’intervention et 15 jours après l’intervention. Si le sevrage n’est pas réalisable, une diminution de la consommation doit être envisagé.
NON
La chirurgie et la médecine vise à soulager l’humain. Il existe des risques liées au traitement, mais aussi aux particularités pathologiques et anatomiques liées à chacun. Il n’existe donc pas de petites chirurgies. Il n’existe donc pas de chirurgie sans risque. Si une intervention vous est proposée, les risques spécifiques et généraux vous seront exposée. Une décision opératoire découle de l’évaluation entre les bénéfices et les risques d’une intervention.
Il s’agit d’une forme de chirurgie mini-invasive qui permet d’assurer un geste osseux en introduisant par une petite incision, un fraise motorisée. La chirurgie percutanée trouve son application dans la chirurgie de l’Hallux Valgus, des orteils en griffes, du Névrome de Morton mais aussi dans la chirurgie de la cheville et du médio pied.
Les incisions sont plus petites et la technique peut sembler plus séduisante pour le patient. Il ne faut pourtant pas oublier qu’il s’agit d’une autre forme de chirurgie en effet le chirurgien ne voit pas directement l’extrémité de son instrument, La technicité et la maitrise gestuelle sont donc fondamentales enfin souvent la chirurgie percutanée peut s’aider de radiographies per opératoires pour guider le geste. Il est donc nécessaire de s’adresser à un chirurgien pratiquant régulièrement la chirurgie percutanée. Concernant les autres différences, il ne faut pas perdre de vue que la chirurgie percutanée n’est pas moins dangereuses qu’une chirurgie ouverte. La récupération précoce et les douleurs post-opératoire restent néanmoins légèrement moins importante qu’avec une chirurgie ouverte.il peut parfois persister un œdème plus prolongé avec la chirurgie percutanée qu’avec celle ouverte, notamment pour la chirurgie des métatarsiens latéraux.
Il s’agit d’une déformation progressive du gros orteil. Le gros orteil à tendance à partir vers l’extérieur du pied (vers le petit orteil) en même temps que la tête du métatarsien fait sailli sous la peau. Cette déformation est communément appelé oignon.
Il existe généralement des facteurs héréditaires dans 60 % des cas, l’origine est un trouble architectural au niveau du premier métatarsien.
C’est la déformation progressive du pied au niveau du gros orteils. Les douleurs et la gêne au chaussage associé ou non à la déformation de la chaussure.
L’existence d’une gêne au chaussage, d’orteil en griffe ou de douleur sous la plante du pied doivent vous amener à consulter.
Il s’agit d’un problème évolutif, plus l’Hallux Valgus sera présent depuis longtemps, plus la déformation aura tendance à se majorer et entrainer des répercussions sur les autres orteils.
NON
Les attelles peuvent soulager les douleurs de tensions sur l’articulation du gros orteils mais n’empêche aucunement la progression de la déformation.
Si la déformation est importante, il faut pouvoir consulter lors de la fin de la croissance afin d’éviter une déformation majeure dans la quatrième et cinquième décennies. La chirurgie de l’Hallux Valgus avant la fin de la croissance, relève d’indication sur-spécialisée en chirurgie orthopédique pédiatrique et les résultats sont sujets à caution.
De nombreuses techniques existent. Le développement de technique percutanée permet la prise en charge de la majeure partie des déformations. Certaines déformations relèvent encore d’une chirurgie standard. La consultation pré opératoire sera l’occasion de discuter avec votre chirurgien de la technique la plus adaptée à votre intervention.
OUI
Après une chirurgie correctrice de l’avant pied, des vis sont généralement nécessaire pour maintenir la correction en place. La chirurgie percutanée ou la chirurgie mini invasive de l’Hallux Valgus n’empêche pas le recours au matériel d’ostéosynthèse. Le recours au matériel d’ostéosynthèse se justifie par la nécessité de pouvoir maintenir la correction osseuse dans la position souhaitée par le chirurgien.
OUI
Le durée du port de la chaussure post opératoire varie de 2 à 6 semaines.
NON
Le délai de récupération n’est pas plus court. L’handicap d’une chirurgie bilatérale est plus important qu’avec un seul côté. Ceci s’explique par le fait que le patient peut se soulager sur le pied non opéré. D’avoir les deux pieds opérés diminue donc l’autonomie post opératoire immédiate.
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Toujours avec la chaussure post-opératoire pendant le temps indiqué. Pendant les deux jours qui suivent l’intervention, le jambe peut être endormie dans le cadre d’une anesthésie loco-régionale, l’usage des béquilles est donc nécessaire pendant cette durée.
NON
Il existe des interconnexions entre le gros orteil et les petits orteils. La griffe est là à cause de l’Hallux Valgus. De traiter uniquement la griffe expose à un risque de récidive par ailleurs l’Hallux Valgus continuera à se déformer et les répercussions architecturales sur l’avant pied se majoreront. Il faut donc traiter l’Hallux Valgus et la griffe.
C’est un conflit entre deux orteils adjacents liés au contact entre la phalange d’un orteil et la phalange de l’orteil juste à côté. Le traitement consiste généralement en une résection d’un fragment phalangien. Cette intervention peut être envisagé en chirurgie percutanée.
Il s’agit d’une déformation progressive d’un orteil qui va se rétracter et entrainer un conflit et une gène au chaussage. L’orteil en griffe devient alors douloureux.
L’orteil en griffe reflète un déséquilibre musculaire et ligamentaire au niveau du pied. L’orteil en griffe est la résultante d’un trouble architecturale au niveau de l’avant pied associé ou non à un problème d’hyper-appui.
Le niveau et la forme de la rétractation n’est pas le même, l’orteil en griffe tend à être un terme générique regroupant plusieurs entités pathologiques. Le traitement est généralement percutanée.
OUI
Uniquement si l’orteil en griffe est la seule manifestation gênante et qu’il n’y a pas d’autre problème sur l’avant pied. Généralement l’orteil en griffe est associés à d’autres problèmes au niveau de l’avant pied.
La griffe va se majorer au fur et à mesure du temps, gênant de plus en plus au chaussage. Dès que l’appui du bout de l’orteil ne sera plus présent, l’orteil juste à côté sera alors à son tour surchargé, entraînant l’apparition d’une nouvelle griffe sur un nouvel orteil.
Il existe des techniques où l’on va bloquer l’articulation (arthrodèse), des gestes de résection d’une partie de la phalange (arthroplastie) pour réaligner l’orteil. Dans ces cas, une broche est généralement nécessaire. Enfin il existe des techniques de chirurgie percutanée sur l’orteil où des tendons sont libérés et une coupe osseuse assure le réalignement.
NON
Il existe des interconnexions entre le gros orteil et les petits orteils. La griffe est là à cause de l’Hallux Valgus. De traiter uniquement la griffe expose à un risque de récidive par ailleurs l’Hallux Valgus continuera à se déformer et les répercussions architecturales sur l’avant pied se majoreront. Il faut donc traiter l’Hallux Valgus et la griffe.
C’est un conflit entre deux orteils adjacents liés au contact entre la phalange d’un orteil et la phalange de l’orteil juste à côté. Le traitement consiste généralement en une résection d’un fragment phalangien. Cette intervention peut être envisagé en chirurgie percutanée.
C’est la déformation progressive du cinquième orteil (le petit orteil) vers l’intérieur du pied (vers le gros orteils).
Il existe une importante composante familiale. Un trouble de l’orientation du cartilage de la tête du cinquième métatarsien est généralement en cause.
Comme pour l’Hallux Valgus, il existe une gène au chaussage lié au frottement de la tête du cinquième métatarsien contre le bord de la chaussure. L’orteil peut également être rétracté et entrainer des douleurs à son niveau.
A partir du moment, où il existe une gène au chaussage lié à la saillie du Quintus Varus, alors une indication opératoire peut être retenue.
Il s’agit d’une déformation dynamique. A causes des attaches tendineuses sur le bout du cinquième orteil, la déformation va se majorer au fur et à mesure du temps pouvant aller jusqu’au chevauchement des orteils.
NON
L’attelle pour les Quintus Varus permet éventuellement de soulager des douleurs sur le bord externe du pied mais elle n’empêchera pas la progression de la déformation du Quintus Varus.
Si la déformation est très importante et qu’il existe une gène au chaussage, alors il existe peut-être une indication opératoire chez votre enfant. Néanmoins, il est préférable d’attendre la fin de la croissance du pied. La chirurgie correctrice du Quintus Varus alors que la croissance n’est pas achevée, présente un risque plus important de récidive ou d’hypercorrection.
Il existe des techniques ouvertes et des techniques percutanées. Les techniques ouvertes consistent en une coupe de réaxation osseuse associé ou non à un geste tendineux. La chirurgie percutanée du Quintus Varus permet de réaliser une coupe osseuse de recul et de réorientation de la tête du cinquième métatarsien.
Il s’agit des risques liés à la chirurgie correctrice, une hypocorrection ou une hypercorrection bien que rare doit toujours rester à l’esprit. Par ailleurs un retard de consolidation peut se produire, dans une chirurgie percutanée, ce dernier risque est faible.
Actuellement, la plupart des Quintus Varus sont accessible à une chirurgie correctrice percutanée. Dans ce cas, il n’y a pas de matériel, la correction est maintenue grâce à un pansement qui maintient le cinquième orteil au maximum vers l’extérieur du pied puis vers la troisième semaine, une orthèse en silicone peut être gardée jusqu’à la sixième semaine post opératoire.
OUI
une chaussure post opératoire est nécessaire après une chirurgie correctrice percutanée du Quintus Varus. La durée du port de la chaussure est de deux semaines.
NON
Il est recommandé de ne pas se faire opérer des deux pieds même temps. En effet le temps de récupération est généralement multiplié par deux, car il faut attendre la consolidation complète des deux pieds. De se faire opérer des deux pieds en même ne fait donc pas gagner du temps pour la reprise du travail.
OUI
les coupes osseuses réalisés en chirurgie percutanée du Quintus Varus sont stables à l’appui. L’appui est donc autorisée.
Pour éliminer tout foyer infectieux afin d'éviter une contamination.
Vous devez réaliser des radiographies puis un scanner afin de réaliser une planification pré-opératoire 3D puis confectionner en 3D des guides de coupes personnalisés sur-mesure.
Vous reprendrez rapidement le vélo avec votre kiné au bout de 6 semaines, puis :
- la natation et le footing sur terrain plat au bout de 3 mois,
- le sport pivot sans contact au 6ème mois,
- et le sport pivot contact (foot, ski, ... ) au 9ème mois
La voie antérieure est la voie d'abord la moins invasive sans aucune section musculaire ou tendineuse, permettant ainsi d'accélérer la récupération en diminuant le risque de luxation secondaire.
OUI
Vous devrez contacter une infirmière à domicile afin de réaliser les soins locaux.
Le type d’anesthésie dépend de l’intervention que vous devez subir. Les anesthésies peuvent être :
- loco-régionale
- rachis-anesthésie (n’endormir que le bas du corps) ou
- générale
NON
La décision de chirurgie ambulatoire est indépendante du type d’anesthésie. Une anesthésie générale ne vous empêchera pas un retour à domicile le jour même de votre intervention. Néanmoins, comme pour toutes chirurgie ambulatoire et pour des raisons de sécurité, vous aurez besoin de ne pas être seul les 24 premières heures.
Le type d’anesthésie dépend du type d’intervention et des conclusions de la consultation pré-anesthésique. Dans les cas, où l’anesthésie loco-régionale peut engendrer un stress accrue, l’anesthésiste peut vous proposer s’il le juge nécessaire d’une sédation associé sans que cela ne soit une anesthésie générale.
NON
Les anesthésistes exigeront d’avoir eu une consultation par leur service.
L’anesthésiste, comme tout médecin, peut prescrire des examens complémentaires s’il le juge nécessaire. Si le délai d’obtention de l’examen est trop long par rapport à la date théorique de l’intervention, l’intervention est alors reporté d’un commun accord entre l’anesthésiste et votre chirurgien.
D’une manière générale 3 mois, sous réserve que votre état de santé ne ce soit pas modifié et que votre traitement médical soit le même. En pratique, si vous avez déjà été opéré dans les 3 mois précédents au sein de la Clinique du Val d'Ouest, une nouvelle consultation n’est pas forcément nécessaire. Néanmoins, le patient devra quand même contacter le secrétariat d’anesthésie pour confirmer cette situation (04 72 19 34 33).
OUI
Vous devrez contacter une infirmière à domicile afin de réaliser les soins locaux.
- Arrêt des aliments solides, du tabac, de la cigarette électronique : 6 heures avant l'intervention
- Dans le cadre du jeun limité, vous pouvez prendre de l'eau ou une boisson sucrée, sans gaz, sans pulpe, sans lait jusqu'à 2 heures avant l'intervention
- Stopper tout liquide 2 heures avant l'intervention
Il ne faut ni boire, ni manger, ni fumer six heures avant l’intervention. A noter que la consommation de tabac retarde votre délai pour être à jeûn de six heures.
Lors du anesthésie, il peut se produire des vomissements. Si le patient n’est pas à jeun, le contenue gastrique risque d’être inhalé. Les conséquences de cette situation sont particulièrement grave et doivent donc être évitées.
OUI
Car il existe certain cas, où une anesthésie complémentaire est nécessaire. C’est cette situation qui justifie pleinement le fait de rester à jeun.
Si votre intervention a lieu en ambulatoire, ou si vous entrez à l’hôpital le jour de votre intervention, c’est à vous de faire la préparation cutanée. Une douche antiseptique la veille et le jour de l’intervention doit être réalisée. Par ailleurs et suivant les cas, le membre doit être dépilé soit à la crème dépilatoire, soit à la tondeuse mécanique. Cf feuille de préparation cutanée.
NON
Car ces procédés entraîne des micro-lésions cutanées qui peuvent être préjudiciable en terme infectieux.
NON
Vous ne serez pas en mesure de prendre votre véhicule pour la sortie d’hospitalisation. Il faut donc que vous puissiez être conduit à la clinique du Val d'Ouest. Si personne ne peut vous conduire, un bon de transport vous sera remis lors de votre sortie de l’hôpital.
Au jour de rédaction de ce site, la caisse primaire d’assurance maladie autorise un transport à l’aller et pour la sortie d’une hospitalisation. Si vous en avez besoin, votre chirurgien pourra rédiger un bon de transport aller et retour lors de votre sortie d’ambulatoire.
Vous ne devrez pas oublier
- Tout vos examens d’imageries
- Les dispositifs médicaux qui vous ont été prescrits en pré opératoire : chaussure postopératoire, béquilles
- Les examens sanguins qui vous ont été prescrits en pré-opératoire
- Votre carte d’identité
- Votre carte vitale
Votre intervention peut être annulée, ou vous pouvez être amené à attendre le temps d’être de nouveau à jeun. Encore une fois, nous insistons sur le fait que la consommation de tabac ou de cigarette électronique vous empêche d’être à jeun pendant les 6 heures qui suivent la dernière consommation.
L’anesthésiste aura répondu à cette question lors de la consultation pré-opératoire. Il vous aura expliquer les médicaments que vous devez continuer à prendre et ceux que vous ne devez pas prendre le jour de l’intervention. Si la prise d’un médicament doit être continué le jour de votre intervention, celle-ci se fait avec une toute petite gorgée d’eau.
La durée d’hospitalisation dépend de plusieurs facteurs qui sont la douleur, la nécessité d’une surveillance hospitalière post opératoire, l’autonomie post opératoire. Actuellement, des techniques opératoires moins invasives et des protocoles d’anesthésie novateur permettent de limiter votre durée d’hospitalisation. La durée d’hospitalisation peut donc varier d’une journée (ambulatoire) à une semaine environ. Bien entendu cette durée dépend de votre intervention et est adapté au cas par cas à chaque patient.
NON
Avant de pouvoir passer au bloc, vous devrez être installé dans votre chambre et avoir retiré vos effets personnelles. La médecine et la chirurgie soignent des humains, elles dépendent donc de facteur humains, ils arrivent parfois que des événements intercurrents comme les urgences s’intercalent et retardent votre passage au bloc opératoire.
NON
Votre sortie ne pourra avoir lieu qu’après la visite de votre chirurgien. Une hospitalisation ambulatoire est une hospitalisation d’1/2 journée.
Durant votre hospitalisation, c’est le bulletin d’hospitalisation qui fait office d’arrêt de travail.
Votre certificat d’arrêt de travail est rédigé par votre chirurgien, le jour de votre sortie.
Vous aurez eu l’occasion de revoir l’équipe chirurgical lors de votre hospitalisation. Un rendez vous post-opératoire est nécessaire afin de contrôler votre cicatrice et de faire réaliser une radiographie de contrôle si nécessaire.
Au même endroit que la consultation pré opératoire (Clinique du Val d'Ouest - Médicentre, Entrée B, 1er étage ou Clinique de la Part Dieu ou au cabinet de l’Arbresle).
NON
Dans le cadre de la chirurgie percutanée de l’avant pied, il s’agit d’un pansement fait au bloc selon une technique précise avec un but recherché de maintien de la correction, le pansement est donc laissé en place jusqu’à la prochaine consultation.
Lorsqu’une hospitalisation a été nécessaire, le pansement est changé avant votre sortie puis laissé en place jusqu’à la consultation de contrôle.
NON
Le pansement post opératoire n’est pas quelques choses qui s’improvise et nécessite tout le savoir-faire et l’expérience d’un professionnel.
OUI
Vous devrez contacter une infirmière à domicile afin de réaliser les soins locaux.
Chirurgiens spécialisées
Dr. Georges Laval
Spécialiste cheville et pied

- Phone:+1 (859) 254-6589
- Email:info@example.com
Dr. Giovanni Manzi
Spécialiste cheville et pied
Dr. Nicolas Fontanin
Spécialiste genou et hanche
Dr. Benoîd Giraud
Spécialiste genou et hanche
Ortho
Val d'Ouest Lyon / Ecully
Le service de chirurgie orthopédique et traumatologique Lyon - Ecully traite les maladies et les traumatismes de l'appareil locomoteur (os, articulations, ligaments, ménisques, muscles, tendons).
04 72 19 31 25
Coordonnées
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